Écoute et efficacité: les clés de mon succès avec The Allyance
💖 The Allyance est votre expert diversité, inclusion et recrutement dans le domaine de la tech.
➡️ Nous allons vous raconter une très belle histoire de recrutement. Depuis juin 2022, The Allyance a aidé à recruter 3 personnes dans les équipes R&D de Resilience. Leur CTO nous dévoile les secrets de cette collaboration.
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🔗 DIVERSITY IN ACTION N° 14 - Nicolas Helleringer
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Bonjour Nicolas ! Alors, qui es-tu ? Dis-nous tout !
Je m’appelle Nicolas Helleringer, j’ai 46 ans depuis peu. Je suis marié à Laure Némée, une femme formidable et très calée en D&I, avec qui j’ai 3 enfants d’âges très différents. Né en région parisienne, j’y ai toujours vécu.
Diplômé de CentraleSupélec, cela fait maintenant 20 ans que je travaille dans un environnement technique, technologique, organisationnel et managérial.
Mes trois expériences principales se sont déroulées chez le célèbre Mappy, le cabinet de consulting NovaCodex et Criteo. Au cours de ma carrière, ma priorité a toujours été de faire travailler les différents métiers ensemble afin de briser les murs d’incompréhension et arriver à un concert plutôt qu’une cacophonie.
J’ai aussi contribué aux premiers pas de nombreuses petites structures, et notamment Resilience, qui met à disposition un écosystème de fluidification entre le·la patient·e atteint·e de cancer et les équipes de soins. J’en suis l’heureux co-fondateur et CTO.
🥋 Malgré mes responsabilités, je suis attentif à mes équilibres perso/pro. Passionné de judo jujitsu, j’essaie de le pratiquer le plus souvent possible. D’ailleurs, j’y étais hier et je me suis fait un peu mal (rires) ! En plus de mes enfants qui m’occupent beaucoup, j’aime lire, aller au cinéma, regarder des séries… Un peu comme tout le monde, finalement !
Comment convaincre quelqu’un·e de rejoindre Resilience ?
💻 Alors ça, c’est une bonne question ! Je décrirais tout simplement Resilience et sa culture d’entreprise. Les cofondateur·ices vivant entre Paris, Madrid et Biarritz, le full-remote s’est immédiatement imposé pour les désormais 85 employé·es de l’entreprise. Nous avons tout de même des bureaux à Paris et Biarritz et invitons vivement les autres à se retrouver dans des espaces de coworking.
Notre culture d’entreprise repose sur un échange transparent concernant nos avancées, notamment grâce à notre All hands meeting hebdomadaire, tous les lundis.
Chez Resilience, nous recrutons des personnes qui ont envie de progresser techniquement. Dans le domaine de la santé, la fluidité n’est pas toujours au rendez-vous, ce qui en fait un sacré défi technique !
Étant une entreprise à mission au sens du droit français et européen, Resilience a à cœur d’améliorer les conditions de vie des malades pour, si possible, augmenter leur espérance de vie.
Fondée par quatre personnes avec des parcours d’entrepreneurs et de belles expériences en démarrage d’entreprise, Resilience dispose d’une expertise et d’un savoir-faire exceptionnels. Malgré notre nature de start-up, on sait où on met les pieds, et c’est inestimable, car cela nous permet de gagner en rapidité et en développement !
Pour résumer, la belle réussite de Resilience n’aurait pu se faire sans cet alignement de bons savoir-faire, d’envies de bien faire, de compétences et sa mission essentielle.
Quelle est la place donnée à la D&I chez Resilience ? Comment fais-tu en sorte que Resilience soit un lieu de travail inclusif ?
Ce n’est pas une question facile, mais je vais tenter d’y répondre… Tout d’abord, le projet a été lancé, fondé et dirigé par une femme, Céline Lazorthes, fondatrice du collectif Sista et un homme, Jonathan Benhamou, ce qui donne un équilibre très intéressant à la boîte.
En termes de parité et de diversité, si nous n’avons pas de statistiques, Resilience est plutôt dans les clous, bien que cela reste difficile dans la tech. Pourtant, nos offres sont toujours inclusives et nous faisons de notre mieux pour ne pas charger la liste des compétences attendues pour chaque poste. Nous sommes parvenu·es à éviter l’écueil du mâle blanc cisgenre à tous les postes techniques et à responsabilités, ce qui n’est pas le cas partout…
Pour être tout à fait honnête, au niveau du recrutement, nous n’avons ni politique ni task-list en matière de D&I mais c’est en toile de fond.
Récemment, j’ai lu un article expliquant que le télétravail serait un frein à l’avancée de carrière des minorités et je serais intéressé d’approfondir ce sujet chez Resilience pour voir si nous arrivons au même écueil.
Par ailleurs, la santé est un secteur de diversité by design, voire très féminin, sans que cela soit bien compris par tou·s·tes. Ayant commencé avec le cancer du sein dont 99% des personnes atteintes sont des femmes, nous n’avons pas le choix que de prendre le pli de la D&I. De plus, tout le marketing est piloté par Céline, qui a véritablement la D&I chevillée au corps.
Comment The Allyance a aidé Resilience dans son recrutement ? Quelles compétences avez-vous recrutées?
Confronté à l’échec de ma stratégie de recrutement multicanal pour mon équipe mobile, j’ai contacté Caroline. J’avais besoin de son expertise en sourcing dans un secteur où nous étions aveugles.
Caroline et Morgane ont été d’une efficacité rare : elles m’ont beaucoup écouté, aiguillé sur mon positionnement. Contrairement à des approches via d’autres canaux, jamais aucun·e candidat·e rencontré·e lors de ce process ne m’a donné le sentiment de perdre mon temps. Au contraire, je suis ravi de les avoir rencontré·es car je n’en aurais pas eu l’occasion autrement.
⚙️ Pour chaque poste, nous avons procédé comme suit : 30 minutes de contextualisation, définition du set de compétences, de la dynamique dans laquelle le poste d’inscrit, puis quelques questions de Caroline et Morgane qui se mettent à la place des candidat·es. Une fois ces éléments rassemblés, elles procèdent à une chasse active, me présentent des candidat·es qui suivront ensuite les 4 étapes du recrutement de Resilience. Nous avons fini par recruter 3 personnes :
Julien Paput en tant que Head of Mobile Development ;
Loïc Goyet en tant que Fullstack Lead Developer ;
Eric Hartmann en tant que Senior SRE Engineer.
Évidemment, The Allyance a proposé plusieurs candidatures de femmes et de personnes sous-représentées. Nous avions fait une offre à une femme qui l’a malheureusement refusée (et finalement, une femme a été recrutée sur ce même poste !). Nous sommes également ravi·es d’avoir recruté une personne de plus de 50 ans !
Comment as-tu connu The Allyance ?
😎 Caroline et moi travaillions tous deux chez Criteo. Bien que nous n’étions pas du tout dans le même secteur, Caroline savait sortir du cadre pour réfléchir à de nouvelles solutions et approches, ce qui en a fait une super partenaires d’idées et d’échanges. Je me devais donc de rester en contact avec elle et suivre ses aventures !
Recommanderais-tu The Allyance ? Si oui, pourquoi ?
Je ne pense pas avoir besoin de le faire, au vu du momentum qu’elles ont ces temps-ci (rires)!
👉 Généralement, j’aime l’approche de Caroline. Elle a su recruter à la perfection en transmettant le bon message. Jamais de bullshit avec The Allyance : Caroline et Morgane disent les choses simplement et efficacement, même quand ça n’est pas facile. Franches du collier mais pas bourrines, et ça fonctionne du tonnerre !
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CONCLUSION
A few words from Caroline, The Allyance CEO:
“Nicolas a tout dit: alors que nous avons tous les deux travaillé chez Criteo, je n’avais jamais eu l’occasion de recruter pour ses équipes. Lorsqu’il a rejoint Resilience, j’étais enthousiaste à l’idée de l’aider. Le projet Resilience a du sens et je connais le management de Nicolas. J’ai du suite eu confiance en notre capacité à recruter pour eux. Cette année, le recrutement d’Eric restera un de mes plus beaux recrutements!”
✔️ Want more?
Si vous souhaitez connaître nos services de recrutement (au succès, RPO, sourcing de minorités, n’hésitez pas à nous contacter!
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ABOUT THE AUTHOR: ✒️ Léa C, The Allyance Contributor